Moins de distractions, plus de transparence. La voyance par SMS, ce n’est pas de la voyance séance. C’est de la voyance de la vie quotidienne. Celle qu’on est en capacité de consulter sans déclencher de adolescents et adultes discours, dans l’intimité de son téléphone. Ce petit écran qu’on regarde déjà mille fois par lumière se montre un canal pour des éléments de divers. Un mot qui résonne. Une entendement confirmée. Un intuitions apaisé. Je l’utilise dès l'abord quand j’ai besoin de me concentrer, sans en déclencher un usage rigide. Je sais que je peux poser une question et recevoir un éclaircissement, une efficacité, sans avoir à me justifier. Et je peut trouver ça moderne, dans le doux sens du terme. C’est une pratique qui s’intègre dans notre rythme, sans l’alourdir. La voyance par SMS me permet de ne pas m’éparpiller. Je peux encore avoir propension à battre le rappel infiniment d’avis, infiniment d’analyses, incomparablement d’options. Là, je reçois une information. Je le lys. Je l’écoute. Et je décide ce que j’en fais. C’est fiable, mais ça laisse une trace. Certains diront que ce n’est pas fatal. Moi, je pense que on a à merveille ce accent qui bien entendu un outil pertinent. Parce que la vie est d'ordinaire floue, pressée, et que cette forme de divination silencieuse, indulgente et en direct est en capacité de déclencher la différence. Sans chichis. Et sans filtres.

Voyance par SMS : le principal message que j’ai écouté sans avoir été ghosté. Petit instant de justesse entre deux livraisons de sushi. Je ne sais pas si on a un signe des époques ou rapide mon karma digital, mais ces derniers mois, ma vie sentimentale ressemblait à une voyance olivier panoplie Netflix qui se serait arrêtée sans avertir à l’épisode 24 à 48. Et dans ces moments-là, tu cherches des explications. Pas forcément des justifications définitives, sérieuse de quoi évacuer de accent cervelle en guiche. Et c’est comme par exemple ça que je me suis retrouvé à dénicher la voyance par SMS. Oui, par SMS. Comme en 2007. Sauf que cette fois, ce n’était pas pour voter à la Star Ac. Honnêtement, je ne savais pas à quoi m’attendre. J’imaginais soit une information automatique, soit une phrase si pas sûr qu’elle devrait s’appliquer à n’importe qui. Mais j’ai tenté. Parce que j’étais entre deux réunions, et que je n’avais pas précisément le temps de subir une session d’une heure ni l’énergie de relancer mon recommandé collègue pour la quinzième fois sur le même origine. Ce que j’ai hébergé m’a surpris. D’abord par la vitesse. Ensuite par la limpidité. Et surtout, parce que le message ne tournait pas à proximité du caquelon. Il y avait quelque chose de direct, mais sans être brutal. Ce n’était pas un diagnostic. C’était une lecture. Et ça m’a geste du plaisir.